Menerville

Bonsoir Dédé et Henri . Merçi infiniment... vos témoignages m'ont ému et m'ont fait trés plaisir...Je n'ai fais que véhiculer une oeuvre magnifique composée par celui qui fût mon professeur dans les années 70, et les arrangements sont de Gérard  Demaizière. Donc tout le mérite leur en revient...
Le texte parle d'une personne qui repart dans son village après une trés longue absence...il décrit son éxil comme un long sommeil, ou une léthatgie...seulement, arrivé dans son village natal, il ne trouva que des ruines,tout les êtres qu'ils connaissait ont disparus...il décrit ses sentiments douloureux, et il préfère replonger dans ce long sommeil qui n'est autre que son éxil....
N'en déplaise à Hubert, je vous fais de grosses bises de toute mon affection.

Quant à toi Hubert, tu ne pourras dormir que d'un oeil, puisque Chantal et moi allons t'en crever un!!!   et si tu ne te calmes pas, tu finiras avec une canne...
Allez bisous quand même!

Dernière modification par Anissa (27-03-2008 18:29:14)

Bonjour les amis,
Je m'étais absenté plusieurs jours et c'est avec plaisir que je vous retrouve. J'ai pas mal de lecture à rattraper. Mon cher Dédé, je sens qu'on va s'éclater à faire un duo ensemble et alors si Anissa se joint à nous, se sera mémorable.
Je vous embrasse tous.
Fabien

Mon cher HUBERT , tu vas en prendre pleine les mirettes !!! Si DEDE et moi sommes des faux durs , c'est que par rapport à toi nous avons eu plus de temps pour nous imprégner de cette culture bien qu'elle ne soit pas la notre , et afin d'éteindre le feu qui couve et sur lequel tu souffles avec délectation , nous ne sommes pas amoureux d'ANISSA , mais de ce qu'elle véhicule ," émotion ,douceur,nostalgie "et ces moments d'émotions même si c'est difficile à passer DEDE et moi en redemandons , mais tu es trop jeune pour comprendre !! Ames de poêtes sans doute et pour chanter notre MENERVILLE , je veux bien me joindre à vous si vous êtes magnanimes , je vous embrasse à tous

Ces premières journées de printemps ont mis des fleurs odoriférantes et des couleurs très douces dans mon cœur.
Ainsi ce matin, des senteurs sublimes m’ont éveillé des souvenirs lointains.
Bercé par ces souvenances, je nous revoyais, harmonieux, dans notre village de Ménerville.
Il y régnait une douce paix sur notre place, ou rien n’avait vraiment changé de notre simplicité d’existence.
Ce bercement, furtif, fût quelque chose d’intense que nous percevons parfois. Je revivais notre Ménerville pendant quelques secondes !
Ainsi il suffit d’un petit rien, pour revivre des moments affriandés.

Je voulais aussi vous dire que j’aimais votre sensibilité mes amis Ménervillois. Chacun l’exprimant à sa façon.
Evidemment je souhaiterais vous entendre lire plus souvent votre amour pour notre village, notre pays. Même si vous devez ouvrir les vannes de vos soupiraux, pour laisser perler des larmes gémissantes et ruisselantes sur vos claviers…

J’ai aussi ce désir, ardent ou insensé qui me revient cycliquement, qui m’interpel : Pourrons-nous un jour nous retrouver sur cette place de Ménerville ? Aurons-nous l’occasion de retrouver ces senteurs d’alors, témoins de la pensée ?
Je sais qu’il ne faut pas vivre uniquement d’espérance, car cela conduit à semer des maux. Mais que voulez-vous, ce feu dévorant qui habite certains d’entre-nous, nous nourrit d’espoirs florissants.

Dernière modification par Hubert (30-03-2008 20:09:49)

Christian, j’ai commencé aujourd’hui à visionner ton montage photos vidéo 1872 - 1962, sur notre village de Ménerville. ! Je n’ai pas encore eu le courage de regarder l’après 1962, mais je me ferai violence et j’y arriverai bientôt !
C’est avec le cœur serré, par l’émotion, que j’ai retrouvé notre village tel que je l’avais laissé, que nous l’avions laissé.
Qu’il était beau notre Ménerville, animé par une population qui me semblait extraordinaire avec ces habitations, commerces, lieux de cultes, écoles et toutes autres infrastructures qui faisait notre village.
Quand je vois le visage de tous ces enfants lors des manifestations sportives, fêtes des écoles, ou tout simplement au quotidien, leurs parents, les notables, les humbles, Je me dis que nous étions heureux. Nous vivions simplement mais avec une force de vivre qui n’avait pas son pareil. Notre population était une mosaïque dont chaque couleur apportait le savoir et son mode de vie, sa culture.
Que son devenus ces enfants, ces hommes et ces femmes qui faisaient l’esprit de notre village ? Qu’il serait bon de pouvoir les retrouver 45 ans après ! Ainsi ce qui sont encore de ce monde, je les espère heureux, humbles avec beaucoup d’amour et de gentillesse malgré le drame qui les a frappé. De par mon esprit assez naïf et rêveur, je me prête à croire que nous formons une véritable famille qui restera unis jusqu’au dernier des Ménervillois !
C’est bien Christian, tu as fait du bon travail de mémoire.

Bonjour Fabien!
Bravo et merci, pour "notre SUD"... J'espère que nous nous reverrons à la prochaine réunion, pour chanter ensemble... J'avais dans mes cartons, une chanson "un peu " chipée à mon idole Alain SOUCHON, et "Y'a de la rumba dans l'air est devenue " Y'a de la nostalgie dans l'air"...
Alors, je l'ai envoyée, sous forme de clip, sans prétention quand même... J'espère que mes accords de guitare te rassureront...
Tchao, Dédé

  La  création à Menerville c'est pas fini !

  Ecoutez  Dédé   

                                                Y'a de la nostalgie dans l'air

        Cliquer  ici  pour écouter


           Y’a d’la nostalgie dans l’air,
          Tous tes rêves galèrent,
          Kabylie, sablière,
          Ta vie, tu peux pas la r’faire…

           Tu cherches des images d’hier, d’hier,
    Dans ces gravats, de terre en colère,
    Ton village c’est qu’un tas d’pierres,
                 Ta vie, tu peux pas la r’faire…

Depuis le temps que t’es  branché par ici,
Depuis qu’ton bateau est … reparti,
   Ta belle école, et l’église… démolies, c’est fini,
             Tu racontes tes histoires, Ménerville, Rocher-Noir,
                                           
Que tu voulais r’voir, c’est trop tard,
                           Laissées un matin, un matin de Juin, chagrin…

  Y’a d’la nostalgie dans l’air,
    Tous tes rêves galèrent,
                    Kabylie, sablière,
Ta vie, tu peux pas la r’faire…

Tu cherches des visages d’hier, d’hier,
    Dans toutes ces rues courant d’air,
    Ton village c’est qu’un tas d’pierres,
Ta vie, tu peux pas la r’faire…
                                       
Mais dis papa, si c’est pas… de la  nostalgie,
Toutes ces photos, un peu jaunies,
  Où tu te revois tout petit, tout petit,

   Tu  ressasses tes histoires, Ménerville, Rocher-Noir,
         Que tu voulais r’voir… c’est trop tard,
   
Laissées un matin, un matin de Juin, chagrin…

Y’a du chagrin dans l’air, dans l’air,
                                 
Quand dans tes rêves galères,
           Dans ton « là-bas de naguère »,
   
Tu te revois comme hier, comme hier…………

Merci Fabien. Vivement Octobre, que l'on puisse avec les amis faire une petite animation tous ensemble...
Peut-être en un modeste hommage à Gaby, qui nous a tellement enchantés pendant des années...
Allez... On n'est pas des chanteurs, mais qu'est ce que c'est bien de pouvoir entre amis partager de bons moments en chansons, même si des fois des "petits canards" fusent ça et là... Ca rajoute quelques petite touches de rires, et ça nous remet toujours à notre place d'amateurs...
Tchao Fabien, à bientôt...

Dernière modification par Dédé LACOUX (17-02-2009 15:14:30)

Je suis d'accord avec vous, mais il faut qu´Anissa et Claudine Laven soient présentes aussi.

Dernière modification par Foudil Boutiche (19-02-2009 10:47:32)

Merci à vous tous...Un envoi prticulier de la petite fille sur commentaires .



http://ti1ca.com/7ldn69pa-Je-suis-la-pe … e.mpg.html

Dernière modification par hachemi ahmed (23-02-2009 01:39:35)