Menerville

Allez, fêtons les mamans à qui ce texte est dédié, hommage modeste au demeurant mais servi de bon cœur à une maman, la mienne, qui n'est plus et toutes les autres !

La vie c’est comme l’amour, elle est un jeu : soit tu es le joueur, soit tu en es le jouet.
Et vois-tu en être le jouet ce n’est pas confortable comme situation.
Mets toi dans la peau d’un mec et imagine-le ne sachant ni distinguer entre le gout du blanc et le bout du gland c’est cocasse non ! Tenir le bon bout, c’est l’affaire de la prostituée dont l’anagramme est tripoteuse justement ça lui donne l’occasion d' être une personne d’enfer. Et lui permet de gagner bien sa vie et gayment parfois.

Remontons à plus loin dans le temps ! On a découvert l’oxygène il y a longtemps, je crois même que c’est au 18 ème siècle.C’était à se demander comment les gens faisaient avant pour vivre ! Ok, c’est simple me dit on, ceux d’avant ben, ils sont tous morts surtout s’ils ont été tués, car l’occis gène par manque d’air qui se déplace en courant et son déplacement apporte une note de frais à tous ces ennuyés de la prostate, cette maladie qui cause au chirurgien des problèmes épineux quand il n’arrive pas à nouer les cordons de la bourse.

Parfois le gus mal-vivant veut s’améliorer l’existence alors il se prend un membre suppléant dont il se prothèse la vie et la dent dans le premier râtelier venu qui construit des mâchoires à mordre la vie à pleines dents.Jamais l’aidant l’aide !Il en a retenu la leçon et c’est ainsi un peu partout.Et du votre, l’actuel ou l’avenir aussi .Et celui de ce gus qui s’empiffre de pruneaux à jeun à en faire un symbole de vieillard qui se ride et qui fait chier.

Ce qui n’est pas le cas de cet ado aux berges de la jeunesse, cette douce auberge au sein de laquelle on prend son pied avec sa main pour atteindre le nouveau monde en nirvana de pacotille.On a beau lui dire de se chercher femme et que l’amour se trouve dans tous les coins de rue pour ceux qui le tutoient en amis respectueux, lui , il continue à se faire son affaire esseulé comme un corbeau sur son arbre à croire qu’il vit sur un rond point interminable inspirant pour un temps un sentiment de pitié qui aurait été bien utile à Néron , ah ce con trop laid, bouffeur de pissaladière dont une méridionale dit un jour à son mari : « Bouffe moi l’oignon avant que les ours n’arrivent ! » Comme quoi, les cons servent de légumes dans des couverts en plastique qui ne posent aucun problème sauf pour la fondue bourguignonne ou pas qui se cramerait à faire tout un plat à une cuisinière confuse.

Allez, je crois qu’il n’est pas loin de trois heures cinquante du matin ! Oui je sais les puristes me diront que je pléonasme ce matin , en plus de délirer, mais ça ce n’est pas nouveau,car trois heure cinquante tapantes ne peuvent que du matin et cette redite malheureuse fait aussi penser à celui qui brûle un feu, mouille de l’eau, fait percer un trou par un petit nain portant une fausse perruque qui s’attelle à faire une marche à pieds en regardant rigolard ce vieux jeune homme qui nage sous l’eau à faire dresser les cheveux sur la tête . Tout cela c’est bien beau et me fait me souvenir justement que je n’ai pas de cheveux à faire dresser ni sur la tête ni ailleurs.
Il est trois heures cinquante du matin disais-je et il est temps de me remettre au lit car l’appel de l’oreiller est plus impérieux par les temps qui courent surtout si on sait que l’oreiller à qui je pense n’est pas celui qui surgit au détour de la route en O rayé pour signaler un sens que je m' interdit d'emprunter mais celui qui vous permettra d’agir demain à tête reposée.

Allez bonne nuit , enfin pour ce qui en reste.